Cela faisait quelques jours que j’étais revenue ici dans le passé. C’était étrange à dire et à entendre… Je ne pouvais dire à personne d’où je venais également car c’était l’asile assuré, tout le monde me prendrais pour une folle... J’avais erré un peu dans la forêt seule. Je ne savais pas quoi faire. J’avais cherché si d’autre du village était là mais je n’avais trouvé personne. J’étais seule, complètement seule. Mes parents me manquaient, je me demandais s’ils s’en étaient sortis, et les villageois… ? L’inquiétude avait été si immense que je m’étais assisse contre un arbre et pleuré pendant des heures et des heures…
Je n’avais jamais était seule, même lorsque j’allais explorer le vieux Forks je savais qu’à mon retour mon père et ma mère serait là pour m’attendre, mais ici… Je ne savais même pas en quelle année je me trouvais.

J’avais peur, c’est alors que je me décidais d’aller en ville, mais seule, sans famille et sale, les gens allaient se poser beaucoup de question… Alors me vint une idée, l’amnésie. C’était une excuse parfaitement valable. A peine avais-je mit les pieds en ville qu’un couple me trouva et appela les secours. La police et une ambulance était venu. L’homme qui me parla le premier fut le chérif de la ville, un dénommé chef Swan… Je connaissais ce nom, Bella Cullen, ce devait être son père… Si tel était vraiment le cas alors je me trouvais une centaine d’année environ dans le passé. Je n’étais même pas né, et mes parents étaient peu être des enfants encore. Ces informations étaient trop pour mon cerveau d’humain et je perdis connaissance.

A mon réveil je me trouvais à l’hôpital. Des infirmières venaient me voir et m’expliquais que le docteur Cullen m’avait occulté et que je n’avais aucun traumatisme apparent et que je pourrais bientôt sortir. Le docteur Cullen, il pourrait m’aider !!! Non évidement, il ne me connait même pas.
Le chef Swan revint me posa différente question comme « Qui êtes vous ? D’où venez-vous ? »
Je lui donnais mon nom et mon prénom et lui expliqua que c’était la seule chose que je me souvenais. Un médecin venait mais cette fois ce n’était pas le docteur Cullen. Il expliqua au chérif et a moi-même que j’avais du subir un choc tellement important et que c’était pour cela que je n’avais aucun souvenir, mais peut-être qu’ils reviendront au fur et à mesure. Le chef avait l’air triste pour moi. Il me dit qu’il allait lancé des avis de recherche dans tout les commissariat du pays, que peu être quelqu’un me connaitrait, et qu’en attendant, il y avait un foyer en ville ou je pourrais vivre qu’il me conduirait lui-même là bas. Il n’avait pas mentis, il m’avait lui-même accompagné et avait fait le nécessaire pour que je sois bien accueillie.
Les gens me paraissaient tous si gentils, ils ne me connaissaient même pas. Je m’en voulais de leur mentir mais je n’avais pas le choix.

Ici dans ma nouvelle « maison », je m’étais bien intégrée, les gens me parlaient merveilleusement bien et je m’étais même fait quelques amis, il y avait des jeunes de tout âges. Je voyais des technologies qui fonctionnaient, les télévisions, les téléphones, les radios… Il y avait tellement de chose que je débordais d’enthousiasmes à chaque instant.
J’étais même inscrite au lycée de Forks et j’avais trouvé un petit emploi dans un petit resto de la ville. Dans mon malheur, tout se passait bien.

Espérons que cela durera.

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