Sujet: Présentation d'Eloïne Grimdelwald Jeu 13 Nov - 19:45
Eloïne Grimdelwald
• Prénom(s) et Nom: Eloine Grimdewald • Date de naissance: 19 Novembre 1991 • Age physique: 20 ans • Age réel: 20 ans (si nous bien en 2011 sur ce forum mais je ne suis sûre de rien) • Race : Humaine (origines féériques) • Don : Sentir bon pour les vampires • Époque de provenance : Présent, celui des Cullens du Présent. • Personnalité sur l'Avatar: Shailene Woodley • Citation : Quel qu'il soit, votre passé vous rattrape toujours... (Inspirée par Bella ♥)
La petite vie de votre personnage…
Votre Caractère
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(5 petites ligne, c’est faisable non ? Alors allez, hop on veut savoir votre caractère. Vous n’avez qu’à remplacer mon texte par le votre, ca sera plus esthétique.)
Votre Physique
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(Pareil que pour le caractère, 5 lignes seront amplement suffisantes. Vous n’avez qu’à remplacer mon texte par le votre, ca sera plus esthétique.)
Votre histoire
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Tout a commencé pour moi dans la forêt de Brocéliande où je suis née. Ma famille était parait-il d'origine celtique, des descendants de fées, de mages, d'elfes ... et autres fantaisies. Il s'agissait apparemment d'une tribu entière qui vivait au cœur de la forêt de Brocéliande, protégée du monde des humains par un voile de magie. Afin de perpétuer la lignée, les fées parfois allaient se reproduire dans le monde avec des humains. C'est sûrement ainsi que je fus engendrée. Je ne connus jamais mes parents. Je ne me souviens que vaguement d'un visage angélique d'une beauté inégalable qui veillait sur moi et puis de chants et de danses étranges dans un lieu naturel et sublime. Cet endroit exceptionnel berça longuement mes songes sans que je sache s'il s'agissait de la réalité ou des images provenues des histoires que me racontaient ma tante avant de m'endormir. Car dès l'âge de cinq ans, c'est elle qui prit soin de moi. Je fus élevée dans la ville de Pimpont, car d'après ce qu'elle m'expliqua plus tard, je n'étais pas une fée de sang pur et n'avait pas ma place dans la forêt sacrée.
Même si elle m'enseignait tout cela comme une certitude, elle me disait de ne rien révéler aux autres enfants humains avec qui je grandissais. Et étant une fille comme les autres, bientôt, lorsque je fus en âge de comprendre, je me rendis compte que tout ceci était peut-être une jolie histoire pour me cacher la mort tragique de ma mère, ou je ne sais quoi d'autre. Quand je fus en âge de me rebeller, je ne décidais pas de rejeter ma tante, seulement par pensée toutes ces histoires. J'étais une humaine banale, qui avait perdu ses parents comme tant d'autres, et j'allais vivre la vie que je choisirais.
J'avais une réelle passion pour le dessin et je promenais mes croquis partout avec moi. C'est pour cette raison que je rêvais de me réaliser dans l'art. Ma tante me disait toujours d'être prudente, que je n'étais pas comme les autres et que pour cette raison, je devais plus que les autres veiller à rentrer de bonne heure à la maison, veiller à être très prudente. Je n'étais pas du genre hyper sociale, aimant me retirer dans mon coin pour dessiner et imaginer des histoires que je figerais ensuite sur la toile, mais j'essayais parfois d'être comme les autres. Avoir des amis, sortir, afin de me prouver à moi même que toutes ces légendes sur mes origines étaient des sornettes.
Mais un soir, alors que je rentrais plus tard que je n'aurais du, je fus suivie. J'avais beau me persuader que ça n'était qu'une impression, j'étais certaine que je courrais un grand danger et cela me tétanisait. Une fois rentrée à la maison, ma tante commença à me passer un savon, puis bientôt elle se tut, elle aussi en proie à un horrible pressentiment. Quelqu'un frappa alors à la porte, et comme nous ne bougions pas, il l'ouvrit. Il était grand, ténébreux et ses yeux étaient de couleur vermeille. Effrayée, figée, je le regardais entrer en souriant tandis que ma tante s'interposait.
-Et moi qui croyais que tu ne mentais pas Lorena, déclara-t-il. Je me demande encore pourquoi je t'ai laissé la vie sauve ... Mais aujourd'hui je sais.
Il connaissait ma tante de toute évidence, je la regardais hébétée.
-Pitié, murmura-t-elle, pitié.
-Tata... ? demandais-je incrédule et hébétée.
Il me regarda et eût un grand sourire amusé.
-Alors tu ne lui as rien dit Lorena.
Il s'avança vers moi mais elle fit un pas comme pour me protéger. Il l'a regarda avec mépris.
-Tu es sérieuse là ? demanda-t-il. Figure toi ma petite (et là il s'adressait à nouveau à moi) qu'il y a des années j'ai trouvé un repaire de fée. Je me suis repu de leur sang et ensuite, j'ai traquées toutes celles qui avaient réussi à fuir. La dernière était Lorena, elle était en fuite, seule, égarée. Je lui ai demandé où étaient les autres. Elle a refusé de le dire. Elle s'est même laissé torturée et j'ai compris qu'elle ne disait rien et qu'elle ne dirait rien, car elle protégeait un être qu'elle aimait. Par conséquent, je lui ai laissé la vie sauve. Elle s'est enfuie et je l'ai suivie. Très vite elle t'as retrouvée, toi, petite fille, cachée dans un bosquet. Je vous ai alors laissé partir car je savais qu'un jour viendrais où tu serais adulte et que ta chair et ton sang m'intéresseraient bien plus que cela. Ce jour est arrivé. Ça n'a vraiment pas été difficile de vous retrouver, il ne fallait pas chercher loin...
Il s'approcha de moi, repoussant brutalement ma tante qui s'écroula contre la table. Puis il passa ses doigts froids sous ma gorge. Son visage était sublime, stupéfiant de beauté, mais il me terrifiait à tel point que je ne pouvais ni respirer, ni parler et encore moins penser.
-Et je ne suis pas déçu mais alors vraiment pas, susurra-t-il en me dévorant des yeux.
-J'en connais d'autres, déclara d'une voix glaciale ma tante qui s'était relevée derrière lui. Si tu épargne celle-ci, je te mènerait à d'autres fées. Des fées au sang pur, beaucoup plus goûteuses que celles-ci. Épargne la et tu auras bien mieux.
Il soupira.
-Je peux très bien prendre celle-ci et te faire parler ensuite Lorena.
-Tu sais par expérience que je ne crains pas la torture, répondit-elle sûre d'elle. Par contre, je l'aime plus que tout, au point que je suis prête à trahir les autres pour la sauver elle.
-Très bien qu'elle parte, si tu dis vrai j'aurais alors de l'occupation.
Il souriait, ... il aurait de l'occupation le temps que je prenne un peu d'avance assurément mais jamais il ne ferait la promesse de me laisser en vie. C'est cette peur que je lu dans le yeux de ma tante lorsqu'elle m'observa et néanmoins, elle me parla avec beaucoup de dignité :
-Descends à la cave, tu y trouvera un sac de survie que j'ai préparé... pour ce genre de situation. Ensuite, pars et ne reviens jamais.
Je la regardais, hébétée. Incapable de parler.
-Fais, ce que je te dis Eloïne, tout de suite !
-Je crois que ta protégée ne peux te croire, après tout, elle ignore tout de ce que je suis.
Sur ce, il prit le poignet de ma tante et y planta les crocs. Le sang perla qu'il avala tandis qu'elle hurlait. Terrorisée, je fis un pas en arrière.
-Je t'ordonne de partir, me hurla ma tante. Il ne me tuera pas.
-Personne ne va mourir pour moi, m'exclamai-je en récupérant une demi conscience mais ma voix restais très faible. Je vous en prie, emmenez moi, tuez moi si vous souhaitez mais laissez la vivante.
Le vampire se détacha de ma tante et la laissa tomber sur le sol, elle était encore consciente mais semblait très faible, je voulus courir pour l'aider mais il me barra le chemin de toute sa hauteur.
-Je trouve le plan de ta tante fortement appréciable ma jolie, alors part avant que je ne change d'avis. Tu ne peux rien pour elle et encore moins pour ceux que je tuerais ensuite. Pars... J'aime ce genre de courage, aussi idiot soit-il, alors je t'épargnerais peut-être. Profite de ma grande mansuétude pour qu'elle ne sacrifie pas en vain.
Comme je le regardais hébétée, il hurla :
-PARS !
Cette fois, dans une brouillard incompréhensible, j'obéis. Ma tante aurait du me parler d’eux... les vampires. Elle ne m'avait rien dit. Rien avoué. C'était stupide. Mais en même temps, l'aurais-je cru ? Sûrement pas davantage que pour tout le reste.
Je me ruais dans la cave, et pris le sac de survie. Ensuite de quoi, je sortis dehors sans plus me retourner. Je savais qu'une hésitation et il me tuerait moi aussi. Mais en même temps, j'avais honte et horriblement mal de l'abandonner. J'étais une lâche, non ?
Je décidais de courir aussi longtemps que possible dans la nuit, pour m'éloigner.
Qui est derrière l’écran… ?
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Spoiler:
Ici votre texte.Votre rp doit porter sur le contexte du forum afin de voir si vous l’avez bien compris, et il doit faire 10 lignes minimum.