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Rpg Twilight, contexte alternatif au tome 1 : Fascination
 
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 I couldn't find wings but you came along and you changed everything.

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Jasper Hale Cullen

Hey, mais c'est
Jasper Hale Cullen

Ta bouille : I couldn't find wings but you came along and you changed everything. Tumblr_mqyjy8Nv1R1rtdaupo3_250
Nombre de Messages : 73
Emploi/loisirs : Etudiant, Frère, Fils, Père et Mari à temps plein
Humeur : Malheureux à en crever.

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MessageSujet: I couldn't find wings but you came along and you changed everything.   I couldn't find wings but you came along and you changed everything. EmptySam 5 Nov - 22:46




I couldn't find wings but you came along and you changed everything.


Avec l’arrivée soudaine de notre famille du futur, notre vie avait été complètement chamboulée. Il nous fallait pourtant continuer à donner le change aux yeux des humains que nous côtoyions malheureusement en cours, ou à l’hôpital pour Carlisle, nous devions mener notre vie comme si tout était parfaitement normal. C’était justement là que résidait toute la difficulté de la chose, notre vie n’était en rien normale. Bella l’avait découvert en s’entichant d’Edward et un peu à ses propres dépends devrais-je dire… Car je ne lui rendais pas vraiment la vie facile. Et je dois dire qu’elle me le rendait particulièrement bien, faisant de ma vie de jeune végétarien un véritable enfer… Enfin autant que cela soit possible pour le vampire que j’étais. Mais depuis quelques semaines j’en arrivais presque à regretter l’époque où j’accompagnais Maria dans sa quête de pouvoir. Il régnait tant de tension à la villa que j’avais sans cesse l’impression d’être une cocotte vapeur sous pression et prête à exploser au visage du premier qui me chercherait misère. Il était difficile de se contrôler… Et pour réussir à rester un minimum moi-même sans déborder sur les autres, je me renfermais. Je savais parfaitement qu’Alice n’aimait pas ça. Pas plus que moi, bien que je sois sans conteste le plus renfermé de notre famille. Je devais aussi avouer que la grande attirance que je ressentais à l'égard du double de ma tendre Alice, n'était pas étrangère à l'intense tension... au chaos total, qui régnait en maître dans mon esprit. Chaque fois que je la croisais les paillons qu’elle avait éveillé en moi, dans la cuisine quelques semaines plutôt, revenaient à la charge. Dés lors je ne pouvais m’empêcher de laisser mon regard errer sur sa peau de marbre, de vouloir goutter ses lèvres qui m’appelait à de douces tortures comme le fruit défendu l’avait jadis fait avec Eve. Je rêvais de la faire mienne, de la marquer comme telle mais aussitôt mon esprit me rappelait que mon Alice avait besoin de moi, qu’elle m’aimait et que j’avais prêté serment de l’aimer moi-même plus que tout au monde.

C’est sur cette pensée que j’avais décidé de nous préparer une petite soirée, juste elle et moi. Un peu de romantisme ne nous ferait aucun mal, bien au contraire. Avec tous ces bouleversements, nous n’avions pas vraiment eu de moment à nous et il me tardait de la retrouvée, de lui faire savoir qu’elle n’avait pas de soucis à se faire, que même si son double parcourrait les même couloirs que nous, je l’aimais chaque jour un peu plus et que jamais je ne l’abandonnerais pour une autre… Aussi attirante soit son double. En tant que mari, je me devais de la rassurer. De lui faire savoir que jamais personne ne pourrait prendre sa place et que nous finirions ensemble l’éternité infinie qui s’offrait à nous avec délice. Et je devais également avoué que sa peau contre la mienne me manquait terriblement. Tout comme ces mots doux que nous nous murmurions entre deux baisers sulfureux alors que nos corps s’épousaient à la perfection… comme s’ils avaient été créés pour s’accorder sur tous les points. Il me tardait d’humer à nouveau le doux parfum de ses cheveux, de sentir ses ongles s’enfoncer profondément dans ma chaire alors que sa respiration haletante et ses gémissements sonnaient comme la plus belle des mélodies à mon oreille.

Pour que cette soirée soit parfaite j’avais fait une chose que je n’appréciais pas trop: le shopping. Depuis toujours le shopping était le moment préféré d’Alice et Rose… Et je n’y participais pas souvent ou alors juste pour porter les paquets comme tous gentlemen auraient fait. Mais aujourd’hui, j’étais sorti seul faire « les magasins ». J’avais aperçu de loin la de venture de la boutique de ma compagne du futur, mais par respect, autant pour Alice que pour elle, qui s’évertuait tant bien que mal à nous éviter, j’avais passé mon chemin. Contrairement à Alice qui mettait des heures, j’agissais de façon méthodique et simple, sachant parfaitement ce qu’il me fallait. Il ne m’avait pas fallu plus d’une heure pour réunir tout ce dont j’avais besoin. Et aussitôt rentré à la villa, j’avais rejoins notre chambre… Celle que nous partagions depuis de longues décennies. En faites, celle que nous partagions depuis notre arrivée au sein de la famille Cullen. J’avais alors commencé à déballer mes achats, inondant de pétale de rose rouge notre lit… Oui un lit ! Alice et moi aimions nous retrouver allongés cote à cote même s’il nous était désormais impossible de dormir. Nous passions alors des heures à rêver de la vie que nous aurions pu mener si nous étions nés à la même époque et que nous serions toujours humains. Je traçais aussitôt un chemin de pétale jusqu’à la salle de bain, encadré par des bougies. Dans la salle de bain, je disposais des tonnes de bougies ici et là, des centaines de bougies qui donnerait une ambiance confinée et intime une fois qu’elles seraient allumées.

Le soleil se couchant doucement sur cette journée pour laisser enfin place à la nuit et à la tendresse qui ne demandait qu’à s’exprimer, plutôt fier de moi, j’en profitais pour me changer, enfilant un jean noir et une chemise blanche que je fermais négligemment par un unique bouton. Passant une main dans mes cheveux pour les remettre en place, je me décidais finalement à allumer toutes les bougies, à faire couler un bon bain chaud dans lequel j’ajoutais quelques poignée de pétale avant d’attendre mon épouse, pour une soirée en toute intimitée… Enfin, si on ne faisait pas attention au reste de la famille et à leurs oreilles plutôt indiscrètes.


Dernière édition par Jasper Hale Cullen le Lun 13 Aoû - 21:26, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: I couldn't find wings but you came along and you changed everything.   I couldn't find wings but you came along and you changed everything. EmptyLun 7 Nov - 23:09

Alice enfila une veste plus épaisse, serra son écharpe autours de son cou et jeta un dernier œil derrière elle, avant de sauter par la porte fenêtre de sa chambre. Elle avait besoin de fuir, de s'éloigner un peu et de se retrouver toute seule. Elle retomba avec aisance et légèreté sur ses jambes sur le sol. Alice se releva rapidement et partie en courant vars les montages. Elle sentait le vent frais caresser doucement son visage, cela lui faisait du bien. Elle se sentait écarté de tout. Sans le moindre soucie et rapidement, Alice arriva au sommet de la montagne. Pour un mois d'octobre, il y avait très peu de neige, mais Alice en était contente. Elle pouvait s'installer sans risquer de mouiller ses vêtements.

Ses cheveux cours furent rapidement ébouriffé par une rafale de vent fraiche. Heureusement pour la jeune femme, elle ne ressentait plus ses sensations. Enfin seule, elle se permit de souffler un peu et de rêvasser, de laissez partir toutes ses visions qui lui faisaient du mal. Alice n'était pas du genre à montrer ses faiblesses, elle ne montrait ni ses souffrances, ni ses soucies. Elle se contentait de tout positiver et de tout étouffer, mais en se moment s'était difficile. Elle gardait le sourire et faisait mine devant tout le monde qu'il n'y avait rien, qu'elle n'avait rien vue. Mais certaines visions venait la hanter tout le temps et Alice avait du mal à le gérer. Voir la mort de sa famille avait été horrible, la sensation qu'elle avait ressentie, à ce moment, avait été indescriptible. Encore maintenant elle ne racontait rien. Puis il y avait eut cette vision, moins terrible mais tout aussi douloureuse, la vision où elle avait vu Jasper embrasser son double. Alice avait la certitude que cela c'était passé. Les comportements fuyant de Jasper et d'Alice lui donnait cette conviction.

Les yeux de la douce Alice se perdirent dans l'horizon sans vraiment qu'elle sent rende compte. Les heures passèrent rapidement et c'est quand son portable sonna qu'elle réalisa qu'elle s'était isolé là haut plus de quatre heures. Alice se sentait plus apaisé, enfin à nouveau sereine. Elle se releva et s'étira, avant de prendre son portable et de lire un message d'Isabella. Cette dernière était tombé éperdument amoureuse d'Edward, mais était bouleversé de savoir que dans le futur, il risquait de mourir. Elle parlait de plus en plus à Alice de se mal être. La jeune Bella souhaitait voir son amie le lendemain, la jeune brune lui répondit qu'elle était d'accord et remit son portable dans la poche de sa veste.
Alice se décida à descendre tranquillement, prenant son temps. Rien ne la pressait vraiment, aujourd'hui, elle n'avait encore rien vue et normalement personne ne devait l'attendre. Elle voyait bien le ciel s'assombrir et les premières étoiles apparaitre, mais elle ne risquait normalement rien du à son don de vampire. Celui ci l'avait déjà prévenue de beaucoup d'arrivée et l'avait protégé mainte et mainte fois. Donc naturellement Alice se faisait confiance, les oreilles aux aguets, les yeux rivés sur l'horizon noir. Elle vu quelque animaux, mais rien de dangereux. Au bout d'une bonne heure de marche, Alice arriva dans les alentours de la maison en souriant. Elle remarqua de la lumière dans la chambre d'Emmett et Rosalie, visiblement les deux était rentré. Ses yeux se balada sur les murs de la maison et elle tomba sur sa chambre, de la fenêtre, elle pouvait voir une ombre bouger, sans mal, elle réussit à reconnaître Jasper. Son sourire s'élargit, auprès de lui, elle arrivait à garder espoir et elle se promis à cette instant de tout faire pour le protéger.

Alice comprit que Jasper était occupé, elle ne rentrerait donc pas par la fenêtre et fit naturellement le tour de maison pour rentrer par la porte. Elle essuya ses pieds avant d'appuyer sur la poignet. Rapidement, Alice entendit qu'il y avait beaucoup de vie dans la maison, mais la plus part des personnes étaient isolée dans leur chambre. Elle ôta ses bottes et les laissa dans l'entrée, ranger comme il faut, puis enleva son manteau laissant apparaître un jolie bustier violet.
La jeune brune remonta doucement les escaliers en se recoiffant légèrement, vu le vent qu'il y avait eut au sommet, elle devait ressemblai à un petit épouvantail. Elle s'engagea dans le couloir qui la menait dans sa chambre, la lumière y était toujours allumé, mais elle n'était pas forte, comme si cela venait de bougies. Et rapidement elle en eut la certitudes, une douce odeur de bougie et de rose vient lui chatouiller les narines. Le sourire d'Alice s'élargit et elle avança vers sa chambre d'un pas léger. Jasper lui avait réservé une surprise, elle adorait quand il la surprenait de la sorte. La porte de sa chambre était légèrement entrouverte, elle poussa doucement la porte et vu Jasper de dos, sortant de la salle de bain. La chambre baignait dans une douce lueur. Alice s'avança doucement dans la pièce, se plaça dans le dos de Jasper et posa ses deux mains sur ses yeux. Elle se mit sur la pointe des pieds et déposa un tendre baiser sur sa joue.

- Bonsoir mon Amour. Souffla-t-elle doucement.

Alice pivota et se retrouva devant Jasper coller contre son torse. Sa main remonta sur son visage et caressa doucement son visage, sans dire un mot. Elle se remit sur la pointe des pieds et lui vola un tendre baiser.
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