• Prénom(s) et Nom:Gabrielle Lewis
• Date de naissance:31 Octobre 1989
• Age physique:22ans
• Age réel:22ans
• Race :Humaine
• Don :aucun tant qu'elle sera humaine
• Epoque de provenance :Présent
• Personnalité sur l'Avatar:Alessandra Ambrosio
• Citation :Ne fais jamais ce que les autres peuvent faire.

Votre Caractère

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Alors comme sa, toi, l’étranger, futur lecteur de ces lignes tu veux connaitre mon caractère ? En es-tu vraiment sûr ? Car dès que tu auras commencé à lire ces lignes aucun retour en arrière ne sera possible. Le curieux qui lit ses pauvres lignes de misères finira par décrépir, comme un genre de malédiction. Le peu que tu connaitras sur moi, tu le perdras en mourant.

Tu es sur de vouloir continuer ? Cela gâchera le plaisir de me rencontrer et de découvrir ma charmante personnalité. Dommage. Je te préviens encore une fois, en poursuivant ces quelques lignes qui vont suivre tu te retrouveras dans un état second. Tu risque fort … de … t’ennuyer. Tu croyais peut-être que j’allais dire mourir ? Et ben dans ce cas tu te trompais cher ami, tu as vraiment mal cru. La seule chose qui peut t’arrivant en me découvrant, c’est de t’ennuyer à mourir. Sans jeux de mots. Franchement qui a envie de connaitre le caractère d’une personne avant même de l’avoir rencontrée ? Non mais je vous jure.

Cependant, bien que je n’aime pas me dévoiler, je vais faire une exception pour les deux charmant admin vampire. Ainsi après ces quelques mots tu découvriras qui je suis. Mais attention, ne crois pas non plus que je vais tout te dévoiler entièrement. Il restera quelques surprises que tu découvriras par toi-même.

Comme tu l’auras certainement compris je n’aime pas me dévoiler, et c’est bien pour cela que j’ai fais tout un baratin pour que tu te lasse et que tu ne saches pas qui je suis réellement. Mais vu que tu poursuis ces lignes, j’en conclus que je ne suis pas arrivés à mes fins, dommage.
Je suis quelqu’un de très curieux, dés que j’ai quelque chose dans le viseur, je ne lâcherai pas le morceau avant de savoir tout, connaitre la moindre petite tache de votre existence. Et pour avoir ce que je veux je peux me montrer très chiante, je vous prie d’excuser mon vocabulaire. Je suis butée, coquine et blagueuse.
En plus de cela je suis aussi très impulsive. Je ne réfléchis qu’après avoir agi. Des fois c’est bien, des fois c’est moins cool. Je suis aussi égoïste, je le reconnais, c’est l’un de mes défauts. En même temps, je ne vois pas l’intérêt d’être généreuse. Pourquoi être généreuse ? Quel plaisir a-t-on d’aider quelqu’un ? La personne envers laquelle tu veux te montrer généreuse te traira de toute manière un jour ou l’autre alors …

Je pense avoir fait un rapide tour de ma maigre personnalité. Vous l’aurez compris, la seule personne qui compte pour moi c’est : moi. Le monde se porterait bien mieux, si nous n’avions pas à tous les coins de rues, des personnes rempli de générosité et de gentillesse.


Votre Physique

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Parce qu’en plus il faut que je te dise comment est mon magnifique corps ? Ne me dis pas que tu n’es pas capable d’ouvrir tes yeux et m’admirer ? Ohhh quel supplice.

Bon d’accord, la déesse que je suis accepte de bien vouloir t’ouvrir les yeux et de te faire baver jusqu’à temps que tu t’y noie. En même temps avec le physique de rêve que j’ai, cela n’est pas bien compliquer. Je n’ai qu’à battre des cils pour que des hommes tombent du ciel par milliers.

Oui, je suis pas mal, je suis même plus que pas mal. J’ai une taille ordinaire, peut-être un peu plus grande que la moyenne du haut de mes 1m75. Le poids ? Je ne vous le dirais pas, mais sachez seulement que je suis bien proportionnée, plutôt fine et sportives avec des formes biens généreuse la ou il le faut pour que je ne passe pas inaperçus aux yeux de la gente masculine.

J’ai de long cheveux châtain clair extrêmement doux, que la plupart des hommes y fourrés leurs mains, et y sentirent la douceur et l’odeur enivrante qui s’en échappe. Je me maquille quelque fois, c’est rare car, je n’ai pas besoin de superflus pour être belle. Le peu de maquillage que je me mets est très discret, on ne le remarque à peine.

C’est tout ou tu veux savoir la couleur de mes sous-vêtements tant que tu y es ? Même si tu voulais le savoir, mon pauvre chou, tu ne le saurais pas.


Votre histoire

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Parce qu’en plus vous voulez connaitre mon histoire ? Et dire que mon entourage se plains que je sois trop curieuse …
Je ferais un dernier effort, pour décrire ma misérable vie sans intérêt. Mais vous n’en connaitrez pas plus sur moi. Ma vie n’est pas un livre que l’on peut ouvrir et lire quand on le souhaite, c’est privé. Et ne vous avisez surtout pas de le répétez au premier coq qui passera, sinon, que vous mesurez 1m50 ou 2m70 bourré de muscle, le résultat reviendra au même : Votre mort par mes soins. C’est quelque chose que je n’ai dis à personne. Ou du moins le gros de mon histoire que j’ai raconté aux autres n’était que mensonge. Je n’allais tout de même pas dire la vérité ! Vous auriez fais comme moi, si vous aviez été à ma place, j’en suis sure. Essayez de ne pas vous évanouir devant ce qui arrive.

Alors que ma mère était enceinte de jumelles et presque à terme de sa grossesse, mes parents eurent la chouette idée d’apporter des fleurs sur la tombe des parents de ma maternel. Quelle bonne idée ! Ils ne pouvaient pas attendre un peu ? C’est ainsi que je vis le jour dans un cimetière un 31 Octobre ainsi que ma sœur jumelle. Je suis née deux minutes après ma sœur. Ils la nommèrent Lydia, et mes parents eurent la charmante idée de me donner un nom d’ange, non mais n’importe quoi, ma mère était très croyante. Alors il a fallu que sa tombe sur moi : Gabrielle. Néanmoins, j’ai une large préférence pour Gaby. C’est comme sa que tout le monde m’appelle.

Je le dis une fois, je ne me répéterais pas, c’est Gaby. N’envisagez pas de m’appeler par mon prénom entier.

Nous coulions des jours heures dans notre petite maison au bord du lac, attention on n’est pas dans la petite maison dans la prairie non plus. Mes parents nous choyer, nous vivions dans l’amour bla bla bla bla … Tout cela était bien beau, mais comme toute les jolies histoires, il y a une fin, qui se termine mal. Le début de la fin de l’existence heureuse commence le jour ou mon père décida de nous planter sur place alors que nous avions prévue un pique-nique depuis plusieurs semaines déjà. Lydia, beaucoup plus émotif que moi, piqua une crise à mon père et pleura toute les larmes de son corps pour tenter de le faire retenir, et venir avec nous. Rien n’y fit. Une réunion de travail de la plus haute importance pour reprendre ses paroles … ouai tu parles autant nous traiter de bouffon.

Enfin bref, mon père partit donc pour sa « réunion » et de mon côté je partis avec ma mère et ma sœur pique niquer. Nous avions apporté un ballon pour que nous puissions jouer avec ma sœur, le temps que ma mère préparait l’emplacement. Nous jouions tranquillement avec ma sœur quand j’en eus marre que Lydia n’était pas capable d’avoir un peu plus de force et me l’envoyer dans les mains, au lieu qu’il atterrisse pitoyablement à mes pieds. Vous me direz, cependant qu’avec ses flexions je me musclais. Mais à 5ans, on ne pense pas forcément à ce genre de chose. Alors j’ai agi, comme j’aurais agi avec n’importe qui : je l’ai provoqué. Cela fonctionna au delà de mes espérances. Même un peu trop. Elle frappa si fort dans le ballon qu’il passa au delà de la clôture et dévala la pente qui se trouvait derrière le grillage. Je n’avais pas l’intention d’aller le chercher, mais ma mère, ayant tout entendu, m’obligea à y aller. Je soupçonnais fortement ma mère d’avoir une préférence pour Lydia. Je leur tournai le dos et partit dignement. Je me faufilai entre les grillages : il y avait un espèce de trou dans le grillage, suffisamment grand pour que je m’y faufile, mais trop petit pour qu’un adulte y passe. Je dévalai la pente à la suite du ballon en prenant soin de ne pas tomber et de ne pas salir mes vêtements. Et oui ! Autant qu’à l’endroit ou nous avons établit notre pique-nique, le sol était plein de verdure accueillant, maintenant j’étais dans un espèce de chantier rempli de sable, la seule pensée qui me vint sur le coup était : Pourvu que je ne salisse pas ma jolie robe.

J’étais loin de me douter que ce petit ballon que j’étais allée chercher, me ferait prendre une tournure différente à ma vie…

Arrivée à destination, ou cette saleté de ballon s’était lâchement enfoui, j’entendis des voix d’hommes un peu plus loin. Étant de nature curieuse, je décidais de me cacher derrière un petit buisson et écoutais les trois hommes parlait. Par rapport à moi, ils se tenaient de profil. Deux hommes faisait face à un troisième. L’homme le plus près de moi brandit une arme en menaçant l’autre en face d’eux. Ils se disputèrent, pour une chose que l’homme voulait. L’homme à l’arme finit part tirer dans la tête de l’autre. Je poussai un petit cri de terreur : n’allait surtout pas ébruiter que j’ai faillis crier, sa nuirai à ma réputation. L’homme à l’arme ne s’en rendit pas compte, puis il donna un ordre au second homme que je reconnus comme étant : mon père !!!

J’en tombai sur les fesses littéralement. Tant pis pour la robe. J’en oubliais le ballon et partit en courant prévenir ma mère de ce que j’avais vu. On pourrait presque croire que ma mère s’y attendait. Au temps que Lydia croyait que j’étais devenu folle, ma mère laissant en plans ce qu’elle avait placé et nous mit toute les deux dans la voiture, et nous partîmes. Ce qui suit est assez flou, mais je sais que nous fumes placer sous la protection de gens qui se la pêter grave dans leur costume de policier.

Mon père faisait partis de programme aussi. Je n’avais rien révéler sur sa présence de ce moment, mais ce n’était qu’une question de temps que je ne me doutais pas à ce moment la.

Un soir mon père voulait « renouait » les liens avec moi. Aujourd’hui a y réfléchir, je pensais plus que c’était pour s’assurer que je ne dirais rien sur lui. Pour «renouer» nous allâmes voir un film au cinéma. Un film bidon. Quand nous revînmes, ma mère et ma sœur étaient mortes pareil que le monsieur de l’autre fois : une balle dans la tête. L’horrible vérité s’imposa avec force à moi : le tueur avait pris ma sœur pour moi et m’avait vu quant je m’étais enfui.

Les policiers qui étaient avec eux à ce moment là était mort eux aussi. Bou brisé ? Euh non cou brisé. Sa va, à cinq ans on ne connait pas sur le bout des doigts l’anatomie humaine. Quand j’ai vu le corps inerte de ma sœur je me suis mise de hurler, et j’ai avoué que mon père y était aussi, j’avais tout avouée aux prétentieux flics.

Je me souviens du jour du procès, et de la promesse du meurtrier qui me hurlait qu’il allait se venger. Mais oui mais oui cours toujours comme on dit.

De la, mon père alla en prison dans un moindre délai que l’autre et j’ai été adopté par des gens très sympathique, je leurs suis redevable. Pas pour l’éternité attention, hein faut exagérer non plus.

J’allais au lycée de Phoenix et ma mère adoptive me reprocha se changeait souvent de petit-copain, ben oui quand on a une beauté comme la mienne pourquoi s’en privée ? Et puis, si je changeais aussi souvent c’est pour trouver chaussure à mon pied.

Quand j’eus 18ans, mon père biologique sortit de prison, et me retrouva pour essayer de se faire pardonner. Le goujat !! Et il y croyait fermement, s’il pensait que j’avais de la pitié pour ce genre de personne il se trompait lourdement. Il repartit je ne sais trop ou, et par le biais des journaux, j’appris qu’il s’était suicidait. Connaissant l’ampleur médiatique que cela avait eu lors de l’arrestation de mon père, je déménageais vite fait, avant que les journalistes ne débarquent chez moi pour me poser mille et une question.

Nous déménageâmes à Forks. Une ville pluvieuse et ennuyeuse et ce n’est pas de ma faute si sa rime un peu. J’imagine ennuyeux à mourir devait rimer aussi avec le nom de la ville. Une nouvelle vie, enfin c’est ce que j’espère…

Vous connaissez l’histoire, maintenant faites demi-tour et surtout, surtout faites comme si vous ne saviez rien, vous n’avez rien vu, rien entendu. C’est clair misérable petite chose ? 15-20 lignes vous avez dit ? Eh bien il me semble que je les ai bien fait !

• Prénom(s) ou votre petit surnom:Tu aimerais le savoir, hein ?
• Age:On ne demande l'age au femme voyons ...
• Fille ou garçon ? :Lis la phrase au dessus tu trouveras peut-être la reponse
•D’où venez vous ?:Ici et la, je bouge beaucoup
• Comment avez-vous connu le forum ?:Par quelqu'un qui connaissait quelqu'un
•Que pensez-vous de la sublime fonda:Lutine
• Une remarque ? : Pfff ... non
• Exemple de rp en spoiler :

Spoiler: